L’élimination du FC Barcelone en demi-finale de la Ligue des champions (LDC) face à l’Inter Milan, le 6 mai 2025, a suscité des réactions mitigées. Tandis que le grand public s’est émerveillé du spectacle offert (4-3 après prolongation), la presse espagnole s’est rapidement tournée vers l’analyse critique, pointant du doigt quatre responsables majeurs de cet échec.
L’arbitre polonais Szymon Marciniak, accompagné de ses assistants VAR Pol van Boekel et Dennis Higler, a été sévèrement critiqué. Les médias catalans, notamment Sport et Mundo Deportivo, l’accusent d’avoir influencé le match en défaveur du Barça.
« Marciniak a mis fin au rêve d’un Barça héroïque », titrait Sport qui dénonce une série de décisions jugées litigieuses, notamment sur le penalty accordé à l’Inter ou sur certaines actions non sanctionnées en faveur des Catalans.
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Les griefs contre Marciniak ne sont pas nouveaux. En 2022, il avait déjà officié lors d’une rencontre polémique entre ces deux équipes, ce qui alimente davantage la méfiance des supporters barcelonais.
Si l’arbitrage a occupé le devant de la scène, Ronald Araujo a également été visé. Entré à la 76e minute en tant que capitaine, l’Uruguayen n’a pas réussi à endosser son rôle de leader.
Il a été impliqué dans les deux derniers buts de l’Inter, encaissés dans les ultimes minutes du temps réglementaire et en prolongation. COMME a rappelé ses erreurs récurrentes en Ligue des champions, notamment un précédent face au PSG.
Si les médias saluent la combativité des hommes de Hansi Flick, ils n’en restent pas moins critiques envers ces facteurs déterminants. Une chose est sûre, l’épopée européenne du Barça s’arrête sur un goût d’inachevé.
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