Aux États-Unis, en 2025, 34 prisonniers ont déjà été exécutés. Un chiffre qui n’avait pas été atteint depuis plus d’une décennie. Cette flambée est la conséquence directe du retour en force de la peine de mort sous la présidence de Donald Trump.
En effet, l’une des premières décisions du président républicain a été de mettre fin au moratoire sur les exécutions fédérales, instauré par Joe Biden. Dès janvier, Trump a signé un décret qui encadre sa doctrine sur la peine de mort. Il affiche clairement sa volonté de rétablir la peine capitale comme un outil central de la politique carcérale.
Le président s’empare également de chaque affaire médiatisée dont les crimes graves pour réclamer l’application de la peine de mort. Un attitude qui renforce ainsi sa visibilité sur ce sujet.
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Cette politique interroge : quelle part de responsabilité Donald Trump porte-t-il réellement dans la reprise des exécutions fédérales ? Si les procédures restent encadrées par un long processus judiciaire, la levée du moratoire a clairement facilité l’application des peines capitales.
Ce retour en force de la peine de mort rouvre un débat profond aux États-Unis, alliant considérations morales, efficacité judiciaire et valeurs fondamentales de la société américaine.
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