Pour rappel, le 22 juin, l’administration Trump a ordonné une série de frappes aériennes sur les sites de Fordo, Ispahan et Natanz, décrites comme « dévastatrices » par le Pentagone. L’objectif affiché est de neutraliser un programme nucléaire iranien soupçonné de chercher à produire une arme atomique.
Malgré les dégâts constatés via des images satellite, certains experts estiment que l’Iran aurait pris des mesures préventives en déplaçant une partie de son matériel stratégique avant les attaques.
LIRE AUSSI : États-Unis : Donald Trump bombarde les installations nucléaires iraniennes
En réponse, Ebrahim Zolfaghari, porte-parole des forces armées iraniennes, a menacé d’élargir les cibles américaines et israéliennes, tout en brandissant la menace de fermer le détroit d’Ormuz, un passage crucial pour le commerce mondial de pétrole. Cette crise fait planer le spectre d’un embrasement généralisé au Moyen-Orient.
Des pertes énormes
Le conflit a déjà causé des pertes humaines significatives. Plus de 400 morts et 3 056 blessés en Iran, en majorité des civils, contre 24 morts en Israël, selon les autorités locales.
Israël, qui a justifié ses frappes initiales par la nécessité d’empêcher l’Iran de développer l’arme atomique, continue d’intensifier ses raids contre les infrastructures militaires iraniennes. Pendant ce temps, Washington appelle Téhéran à « faire la paix », tout en menaçant de nouvelles frappes si des représailles venaient à survenir.
Suivez-nous sur Nasuba Infos via notre canal WhatsApp. Cliquez ici.
Views: 1