En France, le tribunal correctionnel de Fontainebleau (Seine-et-Marne) a condamné un homme de 25 ans à six mois de prison avec sursis probatoire, assortis de strictes interdictions, pour avoir violé une chèvre dans une exploitation agricole de Chaintreaux.
Les faits remontent à l’année 2024. Les caméras de vidéosurveillance installées dans la chèvrerie ont enregistré l’individu en train de se masturber avant de commettre l’acte sur l’animal. Lors de son procès, il a reconnu les faits et tenté de justifier son geste en expliquant que le comportement de la chèvre traduisait, selon lui, un « consentement ».
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Après l’agression, le prévenu a tenté de céder l’animal à un tiers, avant de l’abandonner dans une forêt. La chèvre a finalement été retrouvée avec de graves lésions génitales, selon les constatations vétérinaires.
Face aux juges, l’accusé a affirmé « préférer les chèvres aux femmes » pour justifier son comportement. Une déclaration qui a choqué l’assistance et les associations de défense animale présentes à l’audience.
La décision du tribunal est assortie d’une interdiction définitive de détenir ou de travailler avec des animaux, ainsi que de la confiscation immédiate de tout animal en sa possession. Par ailleurs, il devra verser un euro symbolique de dommages et intérêts à chacune des six parties civiles, dont l’association de protection animale One Voice.
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