Le rap français perd une étoile. Werenoi, de son vrai nom Jérémy Bana Owona, est décédé à 31 ans des suites de complications cardiaques. Alors que les hommages affluent de toute part, une polémique inattendue secoue les réseaux sociaux, où certains internautes accusent l’artiste d’avoir conclu un pacte avec le diable pour accéder à la célébrité.
L’origine de cette théorie vient d’un extrait de son morceau Omega, issu de son album Pyramide 2 sorti en octobre 2024. Werenoi y déclarait :
« J’monte, j’monte, j’monte.
J’me rapproche du sommet et peut-être de la fin de ma vie.
Ou peut-être de ma carrière musicale.
Mais sans regret, j’suis ravi d’vous avoir donné
Beaucoup d’émotions, j’ai rempli mes missions
Remplir les salles sans la clé d’étoile ».
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Sept mois après la sortie de ce titre, le décès brutal de l’artiste a relancé les interprétations symboliques de ses textes. Sur TikTok, des vidéos virales analysent ses paroles et ses clips à la recherche d’indices supposés d’un pacte occulte. Certains utilisateurs n’hésitent pas à comparer sa disparition à celles d’autres artistes partis jeunes, comme XXXTentacion ou Pop Smoke.
Malgré ces théories, Werenoi reste avant tout célébré comme un artiste au talent immense, dont les textes et les performances ont marqué une génération. Les hommages de fans et de figures du rap français rappellent l’impact profond de son œuvre.
Cependant, la controverse divise. Pour certains observateurs, ces accusations relèvent des légendes urbaines, souvent alimentées par le mystère qui entoure la mort d’artistes célèbres. D’autres dénoncent un manque de respect envers la mémoire du défunt et sa famille.
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