Quelques jours après l’élection de Fatima Bosch, Miss Mexique et nouvelle Miss Univers 2025, le concours se retrouve au cœur de graves accusations. Les copropriétaires sont accusés de fraude, de trafic de drogue et d’armes.
La femme d’affaires thaïlandaise Anne Jakapong Jakrajutatip fait face à un mandat d’arrêt émis mardi par un tribunal de son pays pour une fraude présumée de 930 000 dollars. Elle aurait trompé un chirurgien esthétique en le persuadant d’investir dans son groupe JKN Global tout en omettant des informations essentielles. Si les accusations sont confirmées, elle risque de lourdes sanctions.
L’homme d’affaires mexicain Raul Rocha Cantu est sous enquête du parquet fédéral du Mexique pour trafic de drogue, d’armes et de carburant. Les autorités n’ont pas encore identifié tous les 13 suspects de l’affaire, mais plusieurs médias locaux indiquent que Raul Rocha Cantu figure parmi les recherchés.
LIRE AUSSI : France : le rêve qui anime Zinedine Zidane
Des médias mexicains évoquent des liens supposés entre Raul Rocha Cantu et le père de Fatima Bosch. Ces affirmations ont été démenties par Bernando Bosch, cadre supérieur de la compagnie pétrolière publique Pemex. La reine de beauté a quant à elle signalé avoir reçu « des insultes, des attaques et même des menaces de mort », après son sacre.
Ces accusations s’ajoutent aux controverses précédentes sur des élections prétendument truquées lors du concours, toujours niées par l’organisation. Miss Univers, malgré sa renommée, fait face à des critiques sur la gouvernance et l’intégrité de ses dirigeants.
L’avenir des copropriétaires et l’image de Miss Univers 2025 restent incertains face aux procédures judiciaires et aux pressions médiatiques. L’affaire met en lumière les conflits entre célébrité, argent et responsabilités légales, soulignant les risques que comporte la gestion d’un concours mondial prestigieux et très médiatisé.
Suivez-nous sur Nasuba Infos via notre canal WhatsApp. Cliquez ici.
