L’affaire qui secoue la scène médiatique gabonaise depuis près de deux semaines connaît un nouveau rebondissement. L’artiste Shan’l, interprète du titre à succès Tchizabengué, s’est retrouvée au cœur d’une polémique après avoir révélé sur les réseaux sociaux la fin de sa relation avec le père de son fils qu’il accuse de violences conjugales.
Selon ses déclarations, la chanteuse aurait mis un terme à cette union en raison du comportement violent de son compagnon, déjà engagé dans une relation avec une autre femme depuis sept ans.
Quelques jours après ses confidences, des images du mariage civil de cet homme et de sa compagne de longue date ont envahi la toile. La nouvelle mariée n’a pas hésité à s’adresser directement à Shan’l. Elle lui a rappelé être désormais « celle conduite devant le maire ».
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La controverse a rapidement divisé l’opinion publique. Face à la pression médiatique, l’homme concerné a livré sa version des faits. Il affirme que Shan’l connaissait son statut de couple après six mois de relation et l’aurait séduit malgré tout. Selon lui, la chanteuse aurait exercé un chantage affectif, allant jusqu’à le retenir par la naissance d’un enfant.
Il reconnaît toutefois avoir commis des erreurs, mais déclare aujourd’hui aimer et assumer pleinement sa nouvelle épouse. « Oui, j’ai chuté, mais je suis un homme nouveau maintenant », a-t-il conclu.
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