Après deux années d’un conflit meurtrier, Israël et le Hamas ont conclu, dans la nuit du jeudi 9 octobre 2025, un accord de cessez-le-feu à Gaza. Cette entente historique s’inscrit dans le cadre du plan de paix de Donald Trump, qui ambitionne d’instaurer une stabilité « durable » au Proche-Orient.
L’annonce a provoqué une onde d’espoir à travers la communauté internationale. L’Union européenne a salué ce jeudi « une réussite diplomatique majeure » et « un premier pas vers une désescalade tant attendue ».
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Plusieurs dirigeants européens ont exprimé leur souhait de voir cet accord déboucher sur un processus politique concret, dont la reconstruction de la bande de Gaza et la relance des discussions sur la coexistence entre Israël et la Palestine.
De son côté, le président américain Donald Trump, artisan principal du plan, s’est félicité de cette avancée et a affirmé que « les otages seront de retour dès lundi ». Washington espère que ce cessez-le-feu permettra de créer les conditions d’un dialogue durable, sous supervision internationale.
Mais si l’accord marque une pause dans les combats, plusieurs zones d’ombre demeurent. Aucune entente n’a encore été trouvée sur le désarmement du Hamas ni le retrait total des troupes israéliennes stationnées dans certaines zones de la bande de Gaza. Ces points de blocage laissent planer le doute sur la pérennité du cessez-le-feu.
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