Le Mali et le géant canadien Barrick ont annoncé, ce 24 novembre, un accord global qui clôt plusieurs mois de tensions autour du complexe aurifère de Loulo Gounkoto. Ce compromis dissipe un risque majeur pour le secteur minier malien et renforce la confiance des investisseurs.
Le communiqué officiel précise que Barrick renonce à la procédure d’arbitrage engagée contre l’État malien, tandis que Bamako abandonne les poursuites contre la société et ses filiales, restitue le contrôle opérationnel du site et libère les employés concernés.
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Cette décision met fin à un différend qui menaçait l’un des actifs aurifères les plus importants d’Afrique et un pilier de la production d’or malienne, essentielle aux recettes fiscales du pays.
L’annonce a immédiatement eu un impact positif sur les marchés. L’action Barrick a progressé de 2,63 % sur la Bourse de Toronto. Pour le Mali, la résolution de ce litige constitue un signal fort adressé aux investisseurs et confirme la stabilité retrouvée autour d’un secteur stratégique, malgré un contexte sécuritaire et politique complexe.
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