Les propos critiques du patron de Ferrari, John Elkann, à l’encontre de Lewis Hamilton et Charles Leclerc ont provoqué un effet inattendu. Au lieu de diviser, ils ont soudé la Scuderia.
Au lendemain du double abandon des pilotes italiens au Grand Prix du Brésil, Elkann avait exprimé publiquement son mécontentement. Il a, à cet effet, relevé les erreurs de ses pilotes et les manquements de l’équipe. Une sortie jugée maladroite par de nombreux observateurs pour son timing et sa forme, mais qui a eu pour effet de renforcer la cohésion au sein du team.
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Pilotes, ingénieurs et mécaniciens affichent désormais une détermination renouvelée à retrouver la performance qui leur échappe depuis le début de la saison. Leclerc et Hamilton, tout en reconnaissant la nécessité d’améliorer certains aspects, se sont montrés solidaires de leurs coéquipiers et engagés à relever le défi ensemble.
Cette union interne intervient alors que Ferrari cherche à se repositionner dans le championnat du monde de Formule 1, où la constance a cruellement manqué cette année. Pour Elkann, malgré la maladresse de ses propos, l’objectif semble atteint. Il a retrouvé une équipe plus soudée et motivée à reconquérir les sommets de la compétition.
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